Obtenir une formation technique en aéronautique par exemple en s’engageant au sein de l’EMPT. Se familiariser avec les exigences spécifiques de l’armée de Terre (opportunités de carrière, prérequis pour un engagement). S’assurer d’avoir une bonne forme physique et un bon esprit d’équipe car cela est essentiel dans le cadre militaire. Faire preuve de persévérance puisque le processus de recrutement peut être long et exigeant. Il faut garder en tête qu'une fois les études ou les formations fines qui peuvent être longue, c'est l'entrée dans l'ALAT. Une petite famille où l'on fait tous des métiers d'exceptions, que ce soit les mécaniciens ou les équipages.

Chaque mission à son niveau d'engagement plus ou moins avec des contraintes, aussi, il est important de comprendre pourquoi on le fait et de se rappeler à la force morale qui fait l'engagement. Quand la mission prend une tournure qui diffère de l'attendue, que l'épreuve entame le corps et l'esprit, il faut savoir se tenir aux fondamentaux de l'engagement qui aideront à la résilience.

Lorsqu'on s'engage dans l'aviation légère de l'armée de terre (ALAT), ce n'est jamais par hasard. C'est avant tout un métier de passionné, une vocation. Le meilleur conseil que je puisse donner a quelqu'un qui rêve de faire mon métier, c'est de garder en tête qu'après les sélections et les stages a valider qui ne sont pas toujours faciles, ce n'est que du bonheur de voler quasiment tous les jours, et d'avoir un quotidien qui n'est pas rébarbatif.