BAC PRO Maintenance automobile à maintenancier dans l'armée de Terre
J'ai fait un baccalauréat maintenance automobile industrielle sur 3 ans.
Après l'obtention de mon BAC, j'ai intégré une FCIL (Formation Complémentaire à Initiative Local) en mécanique sur véhicule de compétition.
Après avoir eu mon diplôme, j'ai travaillé dans plusieurs écuries. Après la trêve hivernale, je travaillais dans un garage classique puis j'y suis resté lors de la crise de la COVID pendant deux ans.
Suite à cela, j'ai décidé de rejoindre l'armée de terre dans le cursus de sous-officier volontaire.
J'assure le suivi et les entretiens des véhicules du bataillon
En étant chef d'atelier à la station service de mon bataillon, je suis dans l'obligation de tenir les véhicules à jour pour avoir un suivi clair et précis.
Ce suivi sert à ce que mes supérieurs puissent envoyer les véhicules sur différentes missions comme pour des exercices, des formations, etc.
Il faut bien comprendre que la disponibilité et l'opérationnalité des véhicules sont primordiaux pour assurer tout type de missions au sein du bataillon, de la brigade ou même pour d'autres entités.
Le développement de mes connaissances et l'évolution de ma carrière
Ce que j'aime dans l'armée de Terre et qui me motive, c'est le fait de pouvoir évoluer et se perfectionner dans un grand panel de domaine. L'évolution se fait au mérite et au travail accompli. Les chefs ne montrent pas beaucoup leurs contentements, mais le pense tout de même. Ce qui est plaisant également est le fruit d'un travail bien fait, la meilleure récompense sera toujours votre propre estime de vous-même et votre propre satisfaction.
Celui qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre
D'après moi, un rêve ou une envie doit devenir un objectif pour que par la suite, nous donnions le nécessaire pour l'atteindre. Il faut toujours avoir des objectifs en tête et toujours se donner la peine de les atteindre.
L'accomplissement d'une mission.
Que ce soit dans le civil ou dans le domaine militaire, la meilleure chose est la fin, quand on se rend compte du parcours, des débuts et des moments passés.
Dans le civil, ma meilleure expérience a été les meetings de course et la satisfaction de fin quand le pilote et la voiture finissent la course. On ne va pas se le cacher, surtout quand le pilote fait des podiums.
Dans l'armée, il s'agit de ma première opération extérieure, lorsqu'on m'a confié le poste de chef d'atelier dans un milieu hostile et non propice à la logistique.
Le fait de finir la mission sans pépin avec des personnes contente avec beaucoup de facteurs défavorables font toujours plaisir.